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samedi 13 octobre 2012

728, victime du système

Sans conteste, le cas Stéphanie Trudeau suscite un tas de réactions publiques qui vont dans tous les directions. De l'éthique à la vox poluli, tout y passe. On manifeste, on invective, on accuse, on menace, on défend, pire on s'excuse.

Il semble que cette représentante de la loi ne soit pas à ses premiers écarts de conduite. Et, même suspendu, notre état de droit lui verse quand même son salaire. Mieux encore, elle conserve son emploi!  Or, comment se fait-il qu'elle a pu passer à travers toute une chaîne de commandement sans que rien ne survienne? D'un autre côté, comment une personne peut-elle rester saine d'esprit lorsqu'on lui demande de taper sur des manifestants pacifiques pendant des mois?

Aux débordements policiers, c'est souvent leur formation qui est montrée du doigt. Et, la plus part du temps, on nous sert la cassette habituelle que toutes les mesures nécessaires seront prises pour corriger le tire.

Toujours est-il que de la formation initiale au développement professionnel de ce policier, personne n'a osé désamorcer cette bombe à retardement! Le métier de policier n'est pas ordinaire. Et c'est pourquoi une évaluation psychologique obligatoire et périodique devrait faire parti de leur formation continue. Déjà, on peut entendre la voix des petits syndiqueux crier contre ce genre d'initiative, mais pendant ce temps, on occulte le nombre de 728 dormants au sein du corps policier.


Il y a fort à parier que le verdict du dossier Stéphanie Trudeau sera qu'elle n'a été qu'une simple victime de son métier. Tout le déshonneur de cette histoire sera aspergé d'une bonne dose de poivre de cayenne.

Une fois de plus, citoyens, svp, payez vos taxes, restez chez vous, c'est moins risqué que de rencontrer Stéphanie! Après tout, n'est-elle toujours pas à l'emploi du SPVM?

lundi 1 octobre 2012

Pour Gentilly!

Comment peut-on défendre le nucléaire après Tchernobyl, Fukushima et bien d'autres?

Est-ce de l'irresponsabilité ou de l'ignorance collective?

Pourtant, en biologie, il suffit qu'un seul membre d'une colonie d'organismes unicellulaires soit atteint d'un virus mortel pour que toute la colonie s'anéantisse complètement.

Or, imaginez ce qui peut arriver à une société dont l'économie repose sur une mono industrie, si de surcroît, les pronostiques économiques ne sont pas optimistes. Pire, imaginez les suites d'un désastre nucléaire!

La population de la Mauricie préfère réellement les dangers de la radioactivité à la diversité économique...

Peut-être devrait-elle consulter ce lien: Catastrophes nucléaires.
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