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jeudi 31 octobre 2013

Mathieu Bock-Côté, intellectuel?

Photo du net.
Mathieu Bock-Côté n'est pas un intellectuel. Il n'est qu'un simple verbeux compulsif dont le propos repose sur un mélange de six ou sept théories socio-pathétiques, souvent incongrues, qui visent bizarrement à passer pour pertinentes.

Mathieu Bock-Côté n'est pas un intellectuel, au pire un universitaire qui réfléchit devant un miroir. Il réfléchit par lui même, pour lui-même et entend l'écho de ses propres réflexions tout en croyant qu'il s'adresse à quelqu'un.

En réalité, il se rapproche plus de l'universitaire typé qui croit avoir trouvé l'idée du siècle dont il est le seul à la comprendre. Son livre « Fin de cycle » en est une parfaite démonstration de thèses non démontrées, et surtout d'une confusion maniériste.

Il y a sans doute plus de rigueur et de clarté dans une dissertation d'étudiant secondaire qu'il peut y en avoir dans son livre « Fin de cycle » .

Lorsque Mathieu Bock-Côté commencera à penser avec et pour les autres, peut-être, parviendra-t-il au titre honorable d'intellectuel.

La sagesse enseigne que la connaissance n'est pas un promontoire duquel on l’étale. Il va sans dire que ce pseudo intellectuel se prive de cet enseignement.

Pour l'exemple d'humilité et de probité intellectuelle, on repassera!






mercredi 9 janvier 2013

Humeur canadien en manque de remède!

Le gouvernement Harper est le reflet direct d'une certaine culture canadienne ambiante. Le Canada n'a plus besoin du Québec pour mener à bien la destiné du pays. Être élu sans la majorité francophone du pays (le Québec) le prouve dans la mesure où ce gouvernement fait fit systématiquement de l'autorité morale des valeurs humanistes et environnementales du Québec, jadis celles du Canada.

C'est vrai! Pourquoi accaparer la politique canadienne internationale avec les problèmes humanitaires de la planète, alors que le prix à payer pour cet aide pèse trop lourd sur les projets d'armement du pays et l'exploitation des sables bitumineux. Dans la même foulée, pourquoi ne pas bafouer continuellement les droits des autochtones, égorger les chômeurs, couper dans la culture... et faire à répétition des projets de loi omnibus pour museler toute opposition. La fièvre du pouvoir empêche ce gouvernement de faire preuve d'humanité!

Peut-être, parce que lorsque l' «  humain est trop humain » perd-il tout objectivité et son humanisme? Un mal viscéral qui n'afflige sans doute pas Harper à en juger ses politiques. Le seul sentiment qui semble lui rester est son fantasme pour la Reine. Et c'est compréhensible, car à l'écouter parler, notre chère Élisabeth ne maîtrise t-elle pas le français mieux que Stephen?